Divers citéS est spécialisée dans la diffusion des sciences humaines et sociales auprès de publics variés :

adulte et jeune, grand public et professionnel, des secteurs de l’éducation, de l’animation socioculturelle, de l’interculturel, du nautisme et de la recherche.

Divers citéS se veut être une passerelle entre 2 mondes : les chercheurs et la société civile

A l’heure de la « société de la connaissance », force est de constater que les sciences dites humaines et sociales restent peu appropriées par le grand public.

Pourtant, des disciplines comme l’ethnologie, la sociologie, l’histoire, la géographie, la psychologie, etc. auraient beaucoup à apporter à la société civile par :

  • les résultats de leurs travaux de recherche
  • leurs méthodes de recherche
Conférence patrimoine culturel, Archipel, Fouesnant, septembre 2014

Présenter et discuter les résultats d’un inventaire du patrimoine culturel sur l’archipel des Glénan. Journées du patrimoine, Fouesnant, sept. 2014

Connaître, comprendre et utiliser les sciences humaines et sociales permet de :

  • prendre de la distance
  • comprendre
  • agir au mieux dans le monde social et culturel dans lequel nous vivons.

Aujourd’hui, cette démarche apparaît nécessaire : crise du modèle économique capitaliste, souffrance au travail, crise écologique, baisse des engagements bénévoles, etc.

Comment construire de nouveaux modèles sociaux, culturels, économiques, éducatifs, technologiques ?

Si la connaissance des sciences de la vie et de la nature a permis à notre société d’accéder à un certain « confort » matériel et technique, elle ne permet pas forcément de développer celui du « bien vivre ensemble ».

Les sciences humaines et sociales pourraient nous donner ces outils.

Construire un « mieux vivre ensemble » alliant le social, l’économique et l’environnemental ?

La création d’un espace de médiation, de communication, d’échanges entre la société civile et la recherche en sciences humaines et sociales participe à ce projet.

Divers citéS propose de développer de nouveaux métiers, comme celui de chercheur-médiateur et promeut l’idée d’une responsabilité sociale de la recherche.